L’éclipse solaire prévue aujourd’hui, en cas de ciel très ensoleillé, provoquera une brusque variation de la production des panneaux photovoltaïques. Celle-ci pourrait baisser de 34 000 MW en Europe, dont 2 000 MW en France, entre 10h et 10h30, 7 000 MW en Italie et 17 000 MW en Allemagne.
RTE et les gestionnaires de réseaux européens ont donc défini un plan d’action afin de maintenir l’équilibre entre la production et la consommation électrique. Voir l'article en entier »
VALOREM innove dans le financement participatif et lance ce 9 février 2015 une opération de prêt à taux bonifié pour les habitants du territoire.
VALOREM souhaite associer les particuliers aux retombées économiques de ses parcs éoliens. Pour cela, le groupe lance une opération de financement participatif en prêts rémunérés sur la plateforme Lendosphere. Cette première opération pour un emprunt de 60.000€, remboursable en 2 ans propose un taux d’intérêt annuel de 5 %, bonifié à 6 % pour les habitants de Picardie, avec des remboursements trimestriels. Voir l'article en entier »
La nouvelle lettre d’information de l’agence VALOREM de Carcassonne vient de paraître.
Dans le cadre de l’instruction de notre demande de permis de construire, une enquête publique sera ouverte au cours du 1er semestre 2015.
Avec les différentes études à disposition, les habitants auront la possibilité d’approfondir leur connaissance du projet photovoltaïque, de poser des questions et formuler des remarques dans le registre mis à disposition aux heures d’ouvertures de la mairie d’Alzonne.
Un commissaire-enquêteur sera également présent en mairie pour recueillir vos observations. A l’issue de l’enquête, il remettra son avis ainsi que ses recommandations au Préfet de l’Aude.
L’avis d’ouverture de l’enquête publique sera consultable sur ce site ainsi que le résumé non technique du projet et le sommaire de l’étude d’impact disponible en mairie.
Terre pionnière des énergies renouvelables, le Languedoc Roussillon dispose de gisements exceptionnels et d’un réseau d’entreprises dynamiques et innovantes.
Forte de ces 2 atouts, la Région entend relever le défi de la transition énergétique. Ce 10 décembre, en ouverture du Forum ENERGAIA, « Yves Piétrasanta, vice-président délégué au développement durable, a ainsi lancé la « filière régionale des énergies renouvelables ». Réunis autour d’une charte, les différents acteurs des EnR, dont VALOREM, se sont engagés à agir ensemble pour le développement des énergies renouvelables, l’activité économique et l’emploi durable en Languedoc-Roussillon».
Ces photos montrent la construction du parc photovoltaïque du Betout, à Sainte-Hélène, en Gironde. Il est situé sur des friches forestières, parcelles touchées par les tempêtes de 1999 et 2009.
Les panneaux ont été fournis par FONROCHE, entreprise basée près d’Agen et les supports mobiles (trackers) par EXOSUN, installée à Martillac, près de Bordeaux.
Fait historique en France : la production d’électricité d’origine renouvelable (hors hydraulique) a dépassé celle du thermique classique (gaz, charbon et fioul).
Au 1er semestre 2014, le thermique représentait 4,7 % de la production électrique, contre 8,7 % en 2013. Le renouvelable, hors hydraulique, a quant à lui couvert 5,7 % de l’électricité (contre 4,5% au 1er semestre 2013).
« Nous sommes cette année en face d’une inflexion profonde, qui correspond aussi à un changement structurel du parc de production français », analyse Hervé Mignon, directeur chez Réseau de transport d’électricité (RTE). Le recours à la production thermique pâtit tout à la fois de la météo clémente, d’un recul de la consommation d’électricité et d’une forte production d’origine renouvelable.»
Les énergies renouvelables prennent leur essor au détriment des énergies thermiques (gaz, charbon, fioul) fortement émettrices de CO2.
Initié en 2010, le projet a fait l’objet d’une demande de permis de construire, déposée en août 2013. Elle est actuellement en instruction auprès des services de l’Etat en préfecture.
Situé dans l’Aude, à l’ouest de Carcassonne, le projet se trouve sur l’ancienne carrière et décharge municipale d’Alzonne, au lieu-dit « Le Communal ». Maintes fois remanié au cours de ces 30 dernières années, ce site est aujourd’hui en friche suite à la réhabilitation de la décharge.
Situation géographique et aires d'études du projet d'Alzonne
Le projet est situé sur les parcelles de la très ancienne carrière et de l’ancienne décharge communale, aujourd’hui en friche suite à sa réhabilitation dans les années 90. Ce site dispose de tous les atouts pour accueillir un projet photovoltaïque :
– la volonté politique de la collectivité, propriétaire des terrains
– Le caractère dégradé du site, sans contrainte environnementale, ni conflit d’usage des terrains
– un fort ensoleillement avec un gisement solaire évalué à 1410 KWh/m²/an
* L’INSEE, l’ADEME et le Ministère de l’Industrie chiffrent pour 2006 la consommation résidentielle totale à 2300 kWh/habitant et la consommation résidentielle hors chauffage, eau chaude et cuisson à de 1130 kWh/habitant.
Les photomontages ci-dessous donnent une première idée de l’intégration du parc photovoltaïque dans le paysage. Par leur nature même et la surface d’implantation, les panneaux photovoltaïques viendront créer un « nouveau paysage » en amenant notamment un élément de modernité, bien que leur teinte sombre s’approche de celle des boisements présents dans le secteur.
Photomontage en vue aérienne du parc
Voir l'article en entier »
En 2010, à la demande des collectivités locales, VALOREM a lancé des études sur le site de l’ancienne carrière afin d’y envisager l’implantation d’un parc photovoltaïque.
Le site disposant des atouts nécessaires, le conseil municipal a ensuite pris plusieurs délibérations autorisant le développement du projet. Ce choix illustre la démarche menée sur la commune, pour un développement réfléchi et durable d’Alzonne.
Cette étude vise à déterminer les caractéristiques du projet (nombre de panneaux, localisation, dimensions, type de support) et de veiller à leur adéquation à votre territoire.
Pour cela, nous avons réalisé plusieurs études techniques (potentiel solaire, accès, raccordement…) et environnementales (paysage, faune, flore, habitats…). Pour garder la plus grande objectivité, elles ont été menées par des bureaux d’études, associations ou experts indépendants.
L’étude environnementale a porté sur les oiseaux, les chauves-souris, la faune terrestre et la flore. Pendant un cycle biologique annuel, des spécialistes ont recensé les différentes espèces, enregistré leur occupation du site et analysé les impacts possibles du futur parc éolien.
De nombreux espaces autour du site d’étude sont concernés par des zonages de protection, d’inventaire ou répertoriés en Espace Naturel Sensible. Bien représentées sur ces sites, les espèces animales et végétales sont aussi observées sur les terrains du projet. On note notamment la présence de l’habitat d’intérêt communautaire «Parcours substeppiques à graminées et annuelles » et d’une espèce végétale protégée au niveau national à l’Est de l’aire d’étude : la Sabline des chaumes.
Des mesures ont donc été prises pour :
– réduire l’emprise du projet,
– suivre l’évolution des habitats et de la végétation, pendant le chantier puis l’exploitation, afin de s’assurer du respect des milieux naturels, de la faune et de la flore et notamment de la Sabline des chaumes.
L’étude paysagère vise à identifier les enjeux paysagers autour du site potentiel pour y intégrer au mieux le parc photovoltaïque. Elle dessine sa morphologie, détermine les points de vue emblématiques et préconise l’implantation de haies, de clôtures…
Le paysage autour d’Alzonne est marqué par l’exploitation des ressources et des potentialités du territoire. Ainsi, le vaste espace aplani du couloir du Fresquel et de l’Aude a été exploité pour la communication et l’habitat. Sur le territoire incliné du Cabardès, les ressources du sol et du sous-sol ont été exploités (carrières, pâturages et cultures, sylviculture).
Sur le site d’étude, l’ambiance paysagère est assez naturelle. Les terrains ont été végétalisés mais portent les traces des anciennes activités de carrière et de décharge (talus, haie de cyprès). Les alentours sont ponctués d’infrastructures créées par l’homme : habitations, routes, ball-trap, ancien aérodrome.
Croquis de l'ambiance paysagère du secteur d'Alzonne
Le gisement solaire correspond à l’énergie du rayonnement solaire reçue par un module photovoltaïque. Il se mesure en m² et par an, selon une inclinaison optimale. Pour implanter un parc photovoltaïque, une durée d’ensoleillement supérieure à 2 000 heures/an et un potentiel énergétique supérieur à 1 500 KWh/m² sont nécessaires.
Le parc photovoltaïque d’Alzonne sera équipé de suiveurs solaires conçus, développés et fabriqués par la société EXOSUN, basée en Gironde.
Ces supports de panneaux suivent la course du soleil tout au long de la journée.
Panneaux Exosun 1 axe
Panneaux Exosun 1 axe
Le projet d’Alzonne contribue à la reconversion de l’ancienne carrière et décharge municipale en valorisant ces terrains. Qualifiés de friches industrielles, dégradés par leur ancien usage, ils sont difficilement exploitables pour d’autres usages.
La nouvelle occupation du sol va permettre de produire de l’électricité propre mais également de restaurer l’écologie du site. Le projet prévoit notamment des semences de plantes, une fauche annuelle, la restauration des corridors écologiques existants mais dégradés faute d’entretien (fossés de bord de route, haies arbustives …), la création et l’entretien de pierriers.
Soutenir notre industrie est une priorité, VALOREM s’appuie donc le plus possible sur des fournisseurs français. Pour le projet photovoltaïque d’Alzonne, nous nous sommes ainsi associés à :
– EXOSUN, basé en Gironde, pour les 560 supports des panneaux
– FONROCHE dans le Lot et Garonne, pour les 10 560 modules photovoltaïques
